défont-il la politique ?”
“L’humour, c’est comme la mini-jupe : selon les époques, ça monte et ça
descend”
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“Avec la crise on a vu réapparaitre le travail au noir qui est l’exil fiscal du pauvre”
“La Chine vole de la croissance au reste du monde avec une monnaie sous évaluée… c’est du brigandage”
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“Les grands rôles sont ceux où l’on se met en danger”
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Dominique de Montvalon – L’Opinion dans le cadre du débat “Pour qui roulent les médias ?” organisé par le Press Club.
« Le problème des journalistes n’est pas qu’ils soient de gauche ou de droite ; c’est qu’ils se ressemblent. Les gens pensent qu’ils sont des clônes ! »
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Jean-François Copé – Prix Spécial du Jury du Prix Press Club, Humour et Politique 2013 pour :
« A l’UMP nous apprenons la démocratie ; c’est assez nouveau ».
Explication de texte lors de la soirée de remise des prix.
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Roselyne Bachelot, D8 :
« Il n’y a qu’en France que les carrières politiques durent 40 ans ! »
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André Bercoff, journaliste-écrivain, auteur de « Moi, Président » – First Editions :
« François Hollande découvre l’économie mondiale comme Christophe Colomb a découvert l’Amérique »
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Franck Lanoux, directeur général de RMC :
«Notre objectif à RMC n’est pas d’avoir de bons journalistes, de bons animateurs, mais d’avoir des personnalités »
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Jean-Claude Bourret :
« Comment reconnait-on un bon journaliste ? Il faut regarder 10, 20, 30 ans en arrière pour voir quels scoops il a sortis ! ».
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Antoine Baylet – Rédacteur en chef de Lelab d’Europe 1 :
« Le rédacteur en chef de Voici fait quelque fois des papiers politiques plus intéressants que ceux du Monde ».
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Jean Stern, journaliste, ancien de Libération et de la Tribune, dans le cadre du débat « Crise de la presse : la faute aux patrons ? » organisé par le Press Club :
« Les industriels achètent des journaux pour deux raisons. C’est bon pour le standing, c’est comme posséder un yacht, un jet privé ou une villa à Saint Tropez, et parce qu’un journal est une arme de dissuasion massive».
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Jean-Noël Kapferer, spécialiste des marques :
« Les marques de luxe en France ce ne sont pas les produits ou les entreprises, ce sont les diplômés des grandes écoles. Moralité, on manque d’entrepreneurs ».