L’Autorité de régulation professionnelle de la publicité met les pratiques des influenceurs en accusation, dans la seconde édition de son Observatoire de l’influence responsable. Elle pointe du doigt le manque de transparence de leurs pratiques commerciales. 26,6 % des publications ne dévoilent pas leurs intentions commerciales, quant aux autres lorsqu’elles présentent au moins un début d’identification, 32,2 % sont améliorables matière de clarté ou d’instantanéité. L’ARPP réclame une identification des partenariats explicite via des mots-clés clairs
(#partenariat, #sponsoring).