POURQUOI LES JOURNALISTES SONT-ILS AUTANT DÉTESTÉS ?
Mardi 29 janvier de 18h45 à 20h00
Invités : Nicolas CHARBONNEAU – Directeur délégué des rédactions du Parisien, Christophe DELOIRE – Directeur de Reporters Sans Frontières, Philippe DULEY – Directeur de l’Ecole Supérieure de Journalisme, Yannick LETRANCHANT – Directeur de l’information de France Télévisions, Céline PIGALLE – Directrice de la rédaction de BFM TV
Animé par Eric Revel – Membre du Conseil d’Administration du Press Club
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POURQUOI LES JOURNALISTES SONT-ILS AUTANT DÉTESTES ?
Mardi 29 janvier 2019POURQUOI LES JOURNALISTES SONT-ILS AUTANT DÉTESTES ?Invités : Nicolas Charbonneau – Directeur délégué des rédactions du Le Parisien,Christophe Deloire – Directeur de Reporters sans frontières / Reporters Without Borders / RSF,Philippe DULEY – Directeur de l’ ESJC : Ecole Supérieure de Journalisme et de Communication de Casablanca,Yannick LETRANCHANT – Directeur de l’information de France Télévisions, Celine Pigalle – Directrice de la rédaction de BFM TVAnimé par : Eric Revel – JournalisteRéalisation du Facebook Live Production Média – MorphisSale temps pour les journalistes. Jamais ils n’auront été aussi critiqués, conspués. Certains ont même été pris à partie violemment par certains gilets jaunes.La défiance du public vis-à-vis des journalistes associées aux attaques en règle proférées par les partis «anti-systèmes» synthétisent un argument de plus en plus utilisé : c’est la faute aux médias !Un argument déraisonné ou l’expression d’une réalité ?Le “tous pourris” serait-il devenu inévitable ?La connivence supposée entre politiques et journalistes a-t-elle considérablement affaibli la profession ?La possession de bon nombre de médias par des grands groupes est-elle à l’origine des accusations de journalisme de connivence ?Les journalistes ont-ils une responsabilité dans la défiance qu’ils peuvent inspirer ?Les citoyens voient les journalistes du côté du pouvoir, alors que les journalistes se vivent comme un contre-pouvoir. Comment recréer du lien ?Comment impulser une remise en question de la profession en tentant d’analyser les griefs qui lui sont adressés ?
Publiée par Press Club de France sur Mardi 29 janvier 2019
Sale temps pour les journalistes. Jamais ils n’auront été aussi critiqués, conspués. Certains ont même été pris à partie par les gilets jaunes.
La défiance du public vis-à-vis des journalistes associées aux attaques en règle proférées par les partis «anti-systèmes» synthétisent un argument de plus en plus utilisé : c’est la faute aux médias !
Un argument déraisonné ou l’expression d’une réalité ?
Le “tous pourris” serait-il devenu inévitable ?
La connivence supposée entre politiques et journalistes a-t-elle considérablement affaibli la profession ?
La possession de bon nombre de médias par des grands groupes est-elle à l’origine des accusations de journalisme de connivence ?
Les journalistes ont-ils une responsabilité dans la défiance qu’ils peuvent inspirer ?
Les citoyens voient les journalistes du côté du pouvoir, alors que les journalistes se vivent comme un contre-pouvoir. Comment recréer du lien ?
Comment impulser une remise en question de la profession en tentant d’analyser les griefs qui lui sont adressés ?