Il avait saisi la haute juridiction car il n’était pas invité au débat du 20 mars avec les cinq principaux candidats à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, Benoit Hamon, François Fillon, Emmanuel Macron, Marine Le Pen. Le Conseil d’Etat a fait savoir via un communiqué que l’absence des petits candidats ne portait pas « une atteinte grave et illégale au pluralisme de l’expression des courants de pensée et d’opinion ». La règle de la représentativité étant appliquée, il n’y a pas de déséquilibre majeur du temps de parole.