Le Grand Prix 2014 a été décerné à ALAIN JUPPE, Maire de Bordeaux pour la phrase : « En politique on n’est jamais fini ; regardez-moi».
Edouard Philippe, Député-maire du Havre qui a représenté Alain Juppé
Le 1er Prix Spécial du Jury a été décerné à Hervé Morin, Président du Nouveau Centre pour : «Le Centre n’a pas vocation a être la roue de secours du Titanic».
Olivier Mousson, vice-président de l’UDI Paris qui représentait Hervé Morin
Le 2e Prix Spécial du Jury a été décerné à Arnaud Montebourg, ancien Ministre pour : «Je crois au retour de Nicolas Sarkozy ; mais menotté».
Le Prix des internautes a été décerné à Roland Dumas, ancien Ministre pour : « Les affaires au cul, ça se soigne comme les hémorroïdes »
Prix de l’encouragement a été décerné à Michel Sapin, Ministre des finances pour : « Quand on ne va pas assez loin, c’est déjà que l’on va quelque part ».
Prix de la presse régionale hebdomadaire a été décerné à Nadine Morano, Députée européenne pour : « On a une recrudescence de violence… par exemple le vol des portables à l’arraché. Ca n’existait pas avant que les portables existent ».
Une mention spéciale a été décerné au Président de la République François Hollande pour : « Quand ça va bien, on devrait se rappeler que ça ne va pas durer. Et quand ça va mal, on peut penser que cela pourrait aller plus mal ou que ça ne va pas durer ».
Le Prix Nocchio a été décerné à Thomas Thévenoud, ancien Secrétaire d’Etat, pour : « Je ne suis pas un fraudeur, je suis un contribuable négligent ».
Le jury 2014 est composé de :
André BERCOFF, Isabelle BOURDET (Press Club), Nicolas CHARBONNEAU (TF1), Hubert COUDURIER (Le Télégramme), Frédéric DUMOULIN (AFP), Olivier de LAGARDE (France Info), Pierre DOUGLAS, Olivier GALZI (I>Télé, Président du Press Club), Laurent GERRA, Thierry GUERRIER, Anita HAUSSER (Atlantico), Gérard LECLERC (LCP Assemblée Nationale), Jacques MAILHOT, Jean MIOT (Président du Jury), Dominique de MONTVALON (L’Opinion), Philippe REINHARD et Dominique Verdeilhan (France 2).
Les finalistes 2014 :
François BAROIN, Député : «Wauquiez c’est le Fou du Puy.
Charles BEIGBEDER, candidat dans le 8e arrondissement à Paris : «Bertrand Delanoë, c’est gabegie le magnifique».
Daniel COHN-BENDIT, Député européen : «Si Mélenchon était au pouvoir, il mettrait tous les Melenchon en taule ».
Roland DUMAS, ancien Ministre des Affaires Etrangères : «Les affaires au cul, ça se soigne comme les hémorroïdes ».
Jean-Claude GAUDIN, Maire de Marseille : «Comme je suis célibataire et que je n’ai pas d’enfants, je ne me suis pas senti vieillir».
Henri GUAINO, Député des Yvelines : «Si Nicolas Sarkozy n’avait pas été là, il n’y aurait plus de démocratie en France, en Europe et dans le monde».
Le Président François HOLLANDE : « Quand ça va bien, on devrait se rappeler que ça ne va pas durer. Et quand ça va mal, on peut penser que cela pourrait aller plus mal ou que ça ne va pas durer ».
Alain JUPPE, maire de Bordeaux : « En politique on n’est jamais fini. Regardez-moi ! ».
Roger KAROUTCHI, Vice-président de l’UMP : « Les cartes postales c’est bien mais à un moment il va falloir mettre les timbres».
Jean-Christophe LAGARDE, Secrétaire général de l’UDI : « On change le bocal, mais on garde les mêmes cornichons».
Jean-Claude MARTINEZ, ancien vice-président du FN : «J’ai eu Marine Le Pen comme étudiante à Assas, elle est du même niveau que Dati et Morano ; elle écrit en phonétique». Sur roadsmag.com
Arnaud MONTEBOURG, à l’époque Ministre du Redressement Productif : « Je crois à un retour de Nicolas Sarkozy ; mais menotté ».
Nadine MORANO, ancien Ministre : «On a une recrudescence de violence… par exemple le vol des portables à l’arraché. Ca n’existait pas avant que les portables existent ».
Hervé MORIN, Président du Nouveau Centre : « Au Centre, on n’est pas chargé d’être la roue de secours du Titanic».
Valérie PECRESSE, Secrétaire générale déléguée de l’UMP : « On a besoin d’une Angela Merkel en France et cela peut être un homme ».
Michel SAPIN, Ministre de l’Economie et des Finances : «Quand on ne va pas assez loin, c’est déjà qu’on va quelque part».
Nicolas SARKOZY, téléphonant aux élus de son camp : «Je t’appelle pour te féliciter, mais si cela t’ennuie que Hollande connaisse la teneur de notre conversation, je raccroche».
Thomas THEVENOUD, ancien Secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, du Développement du tourisme et des Français de l’étranger: «Je ne suis pas un fraudeur, je suis un contribuable négligent».